Le contentieux universitaire et la modernité
Lorsque le ministre chargé de l’enseignement supérieur a souhaité qu'APB intègre une procédure de tirage au sort dans son algorithme, lorsque l’université de Paris-II Panthéon-Assas a souhaité créer une filiale en vue d'organiser une préparation à l'examen d'entrée à l'EFB, lorsque certains présidents d'université ont refusé l'inscription d'étudiants en Master, le juge administratif a été le premier à se prononcer.
Ces réponses juridictionnelles ont-elles été à la mesure de la modernité des questions posées par ces situations administratives universitaires ?