Le Conseil national des barreaux et l'ensemble des syndicats et associations qui l'ont rejoint pour la manifestation du 16 septembre ont créé le Collectif SOS Retraites : les libéraux - médecins, chirurgiens, kinésithérapeutes, infirmiers, orthophonistes et podologues, les pilotes, les hôtesses et stewards... tous y sont réunis.
De nombreuses professions rejoignent la manifestation à l'appel du CNB
Les médecins, les kinésithérapeutes, les infirmiers, les pilotes et personnels navigants, orthophonistes et podologues ont d'ores et déjà rejoint la manifestation à l'appel du Conseil national des barreaux et s’associent aux avocats pour s’opposer à la « prédation par l’État de nos régimes autonomes qui sont solides, bien gérés et solidaires. »
- Médecins : Fédération des médecins de France (FMF), Union des Chirurgiens de France (UCDF-Le bloc), Union Française pour une Médecine Libre (UFML)
- Infirmiers : Convergence infirmière, UNIDEL
- Kinésithérapeutes : Syndicat Alizé, ACK
- Pilotes, personnel navigant : SNPL, SNPNAC, SNPNC-FO, UNAC, UNPNC, UNSA-PNC
- Orthophonistes : ORA
- Psychomotriciens : SNUP
- Pédicures-podologues
Le Conseil national des barreaux et l'ensemble des syndicats et associations qui l'ont rejoint pour la manifestation du 16 septembre ont créé le Collectif SOS Retraites.
Création au CNB du collectif #SOSretraites : avocats, médecins, chirurgiens, infirmiers, kiné, orthophonistes, pilotes, personnel naviguant : pour la première fois, toutes ces professions manifesteront ensemble. Tous réunis pour défendre les retraites, tous à Paris le 16 sept ! pic.twitter.com/ko3l00AF1d— CNB (@CNBarreaux) August 27, 2019
D’autres organisations syndicales sont également en train de voter le principe de leur ralliement à notre manifestation.
Ces professions financent des régimes autonomes depuis des décennies sans avoir jamais rien coûté aux contribuables. Elles ne peuvent cautionner les propositions de Jean-Paul Delevoye qui aboutiraient à supprimer ces régimes, à faire un hold-up d'État sur leurs réserves cotisées et à majorer le coût du maintien des retraites à leur niveau actuel, voire doubler les cotisations retraites versées par certaines de ces professions, sans toutefois garantir le maintien des pensions actuelles. Elles s'opposent également formellement au détournement des réserves de leurs régimes.