Le Conseil national des barreaux continue de renverser les idées reçues sur la profession d’avocat. Si certaines concernent le coût ou l’accessibilité, d’autres sont bien plus préoccupantes. Parmi elles, une confusion persistante : l’assimilation de l’avocat à son client. Or, cet amalgame fragilise l’indépendance de l’avocat et, plus généralement, l’État de droit.
Le Conseil national des barreaux continue de renverser les idées reçues sur la profession d’avocat. Si certaines concernent le coût ou l’accessibilité, d’autres sont bien plus préoccupantes. Parmi elles, une confusion persistante : l’assimilation de l’avocat à son client. Or, cet amalgame fragilise l’indépendance de l’avocat et, plus généralement, l’État de droit.
Sous la bannière « Ni juge, ni complice », le Conseil national des barreaux rappelle une vérité essentielle : l’avocat défend, il ne juge pas. Il garantit les droits et libertés de tous les justiciables, sans distinction. Car en France, chacun a droit à un avocat, à un procès équitable et à un juge indépendant. C’est une garantie fondamentale, l’essence même d’un Etat de droit.

Avocats, faites entendre votre voix
Pour que ce message soit entendu, le Conseil national des barreaux vous invite à relayer ces messages sur les réseaux sociaux.
📢 Mobilisez-vous dès maintenant !
- Téléchargez le kit de communication
- Partagez un post sur vos réseaux avec le hashtag #NiJugeNiComplice
- Ajoutez la signature de mail et la photo de profil de la campagne
Ensemble, protégeons l’indépendance de la profession et le droit de chaque justiciable à être défendu.