PENSER LA VILLE A L’AUNE DU CHANGEMENT CLIMATIQUE : VERS UNE NOUVELLE EQUATION

Le fil rouge des deux jours :Les différents rapports notamment du GIEC et l’hypothèse d’une hausse de +4° de la température mondiale en 2100

L’impact du secteur de la construction sur la production du CO2 qui représente 43 % des consommations énergétiques annuelles françaises et qui génère 23 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) français

L’impact de l’aménagement urbain sur la chaleur ressentie en Ville : îlots de chaleur à remplacer par des îlots de fraîcheur, la prise en compte de l’effet d’albedo

Des réglementations constantes et de plus en plus contraignantes interviennent pour réduire les émissions des gaz à effet de serre dans tous les secteurs de production et de consommation et plus particulièrement en matière de construction.

Des normes et labels ont été édictés pour réduire la consommation énergétique des bâtiments ou agir sur les manières de produire : RT 2005, RT 2012, RE 2012, BBCA,etc.

Tout le monde partage le constat et souhaite réduire l’impact de l’activité humaine sur le climat : mais comment en supporter le coût de ces adaptations ?